21 avril 2016 à 18:30
La parole aux Wags
Début d'une longue série d'interview de femmes de joueurs.
C'est Solène qui ouvre le bal.
Un grand merci à elle !!
- Tout d'abord, ça fait quelle sensation de côtoyer un joueur cornilois au quotidien ?
C'est une sensation agréable, le groupe est très sympathique, mais qui peut peser sur notre vie de couple. Force est de constater qu'il consacre beaucoup de temps à sa passion mais je l'accepte car cela va permettre au FJEP Cornil d'aller loin avec des éléments comme lui.
- Tu les vis comment les matchs autour de la main courante ?
Je vibre les jours de match, mais cela me permet surtout de peaufiner mon bronzage au Roc Blanc.
- Il mange quoi au repas juste avant les matchs ?
Le repas classique: coquillettes et cordon bleu pour finir sa collection de magnets "Le Gaulois".
- Est-ce que tu le conseilles sur des choses à faire ou à ne pas faire lors de la rencontre qu'il aborde ?
Même si je lui dit avant chaque match "allez tu marques aujourd'hui" je pense que le rôle d'un défenseur central n'est pas de faire des grandes chevauchées mais d'être adroit dans la relance.
- Il préfére le FJEP Cornil ou toi ?
Allons, allons !! La question ne se pose pas. Si il veut avoir un jour un fils qui prendra la relève du poste défensif, il aura besoin de moi.
- Si tu devais jouer dans cette équipe corniloise, tu te verrai à quel poste ?
J'hésite... le capitaine Pierre-Louis Martinie me dit souvent que j'ai les qualités footballistiques de Vincent Boucher alors pourquoi pas prendre sa place. Mais j'avouerais que le milieu de terrain me permettrait d'envoyer des grands ballons en profondeur pour Yannick Barraud en lui chantant du Macklemore.
- Est-ce que ton rêve ça serai pas qu'après un de ses buts, il te demande en mariage avec une inscription sous son maillot ?
Le problème étant que si je dois attendre son prochain but je ne me marierais jamais...
- Sais-tu ce qu'il se passe vraiment dans les vestiaires une fois la porte fermée ?
Je pense qu'avant de prendre une fausse douche (car aucun ne sent le savon en sortant), vous fêtez votre pérpetuelle victoire sur l'air de "chaud cacao" de Annie Cordy.
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